J’ai été pris en charge par la DPJ
L'histoire de Junior Nicolas
Junior Nicolas témoigne de son expérience comme jeune ex-placé.
Mieux connaître tes droits
Ressources et outils
- Dépliant : Tes droits quand la DPJ est dans ta vie
- Campagne : Mes droits sous la DPJ
- Page Web : La lésion de droits
- Page Web : Exemples d'interventions pour protéger les droits des jeunes
- Page Web : Intervention de la DPJ à la suite d'un signalement
Formation
Quand contacter la Commission, quand contacter la DPJ?
Pour mieux comprendre le rôle de ces deux institutions qui travaillent pour protéger les jeunes, consultez notre FAQ.
Saviez-vous que ?
La Commission reçoit des demandes d’enquête concernant des jeunes dont la situation a été signalée à la DPJ. Le nombre de demandes est en hausse constante depuis dix ans : Il est passé de 165 en 2010-2011 à 759, en 2023-2024.
Foire aux questions
Protection de la jeunesse - Questions des enfants et des jeunes
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Qui contacter si je ne suis pas d’accord avec une décision de la Cour du Québec - Chambre de la jeunesse?
Vous êtes un jeune ou un parent et la Cour du Québec - Chambre de la jeunesse rend une décision qui ne vous convient pas? Contactez un avocat ou une avocate. La Commission ne peut pas aller à l’encontre d’une décision de cette cour.
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J’ai une ordonnance de la Cour du Québec - Chambre de la jeunesse qui n’est pas respectée par la DPJ, que dois-je faire?
Contactez la Commission. Nous évaluerons si nous avons compétence pour intervenir et faire respecter l’ordonnance de la Cour par la DPJ.
- Par téléphone : 1 800 361-6477
- Par courriel : jeunesse@cdpdj.qc.ca
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À quoi ont accès les enquêteurs lors d’une enquête en protection de la jeunesse?
Les pouvoirs des enquêteurs et enquêtrices sont les mêmes que ceux des commissaires-enquêteurs sauf pour le pouvoir d’emprisonner. L’enquêteur ou l'enquêtrice peut, par exemple, obtenir des documents ou interroger toute personne dans le cadre de son enquête.
Un enquêteur ou une enquêtrice peut donc avoir accès à l’ensemble du dossier de l’enfant dans le cadre de son enquête. Cela peut inclure : le dossier DPJ de l’enfant, le rapport du coroner, le dossier médical, le rapport de police, etc.
En raison de ses pouvoirs d’enquête, l’enquêteur ou l'enquêtrice n’a pas besoin du consentement de l’usager ou des parents et n’a pas à faire une demande d’accès à l’information.